La soufflerie
pour quoi faire ?
Pour vivre une expérience hors du commun : Comme les cyclistes et triathlètes professionnels, vous avez désormais la possibilité de vivre une expérience exceptionnelle sur votre vélo. Nos techniciens installent votre vélo dans la veine puis vous invitent à vous mettre en position. Les portes de la soufflerie se ferment et vous vous retrouvez seul sur votre vélo, au cœur de la machine. Les roues se mettent à tourner puis le grondement de la turbine de 340 Cv commence à se faire entendre. Le vent souffle. A plein régime il peut aller jusqu’à près de 150 km/h ! Êtes vous prêts à l’affronter?
Pour améliorer vos performances sur le vélo : Sur terrain plat, en fonction de votre vitesse, 80 à 90% de la puissance que vous développez sert à vaincre les effets aérodynamiques. Améliorer votre aérodynamique permet donc de réduire la principale source de résistance. Par ailleurs 75% de la trainée aérodynamique (celle qui vous empêche d’aller plus vite) provient du cycliste et de son équipement, le vélo n’étant responsable que des 25% restants. Il est donc indispensable de travailler son aérodynamique.
Pour économiser des watts : 80 à 90% de la puissance que vous générez sert à vaincre la trainée aérodynamique. Les watts gagnés en soufflerie vous permettront soit d’aller plus vite sur le vélo tout au long de la course, soit d’en garder un peu plus sous la pédale pour le sprint final ou pour la course à pied…. A vous de voir.
Bien entendu, le gain dépendra de votre position et de vos équipements de référence (il sera plus facile de réaliser de gros gains en watt si votre position de départ est digne de celle d’un facteur !) mais les gains moyens lors d’une séance longue en soufflerie sont de l’ordre de 15 à 20 watts.
Parce que chaque cycliste est unique : Taille, poids, carrure, flexibilité articulaire…. Vous êtes unique et votre morphologie n’est pas celle de votre idole ni de votre principal concurrent, il est donc impératif de trouver, votre position et vos équipements optimums.
Parce qu’une victoire peut se jouer sur l’aérodynamique : à 35 km/h un gain de 10W sur le vélo c’est plus de 4 minutes de gagnées sur 180 km !
Que faut-il travailler : Tout !!
En aérodynamique, ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières. C’est en travaillant tous les détails, la position, le choix des vêtements et des équipements du cycliste (casque, lunettes, chaussures etc) le choix et la position des équipements du vélo (bidon, porte bidon, compteur …) que les gains vont se faire sentir. Cela peut se faire en une fois sur une séance longue ou en plusieurs fois sur des séances plus courtes.
Une étude posturale
pour quoi faire ?
Pour faire corps avec sa machine : L’objectif principal d’une étude posturale est d’optimiser la position du cycliste sur son vélo afin de créer une synergie avec sa machine. Le but recherché par le coureur peut être différent selon sa pratique et son niveau.
Pour plus de confort et moins de douleurs : De nombreux cyclistes de tous niveaux ressentent des douleurs après leurs sorties. Elles sont la plupart du temps causées par une mauvaise position et par un réglage inadéquat du vélo. Les études posturales dynamiques permettent de corriger votre position et vous permettent de trouver confort, soulagement de douleurs, intégrité, équilibre des forces, sécurité et bien sûr le plaisir avant tout.
Pour plus de performance : Sur un vélo le moteur c’est vous ! Un cycliste bien positionné sera donc capable de générer une puissance optimisée en prenant en considération les conditions de confort autorisant une meilleure constance de l’effort.
En résumé les études posturales dynamiques vous permettent de générer plus de puissance plus longtemps et les essais en soufflerie vous permettent d’éviter de consommer inutilement cette puissance. Le résultat : une performance accrue qui se traduit par un gain de temps substantiel sur le vélo.